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25 éléments trouvés pour «  »

  • Le processus du deuil

    Le deuil est un processus long et douloureux à vivre. Ce processus, ainsi que les différentes étapes qui le compose sont bien connus des coachs professionnels. Ne restez pas prisonnier d’un deuil qui vous empêche d’avancer. Faites-vous accompagner par un coach professionnel qui vous aidera à franchir ces étapes douloureuses en vous proposant des solutions adaptées --> Prendre rendez-vous Le deuil c’est quoi au juste ? Tous les grands changements qui jalonnent nos vies longues et non tranquilles, nous demandent à un moment donné de faire le deuil de nos situations vécues ; que ce soit la perte d’un être cher, la perte d’un emploi ou la séparation d’avec un proche ; à chaque fois si nous voulons avancer, nous devons laisser dans le passé ces situations devenues obsolètes. On dit alors qu’il nous faut tourner la page. Mais des freins peuvent nous empêcher de le faire. On peut par exemple s’employer à occulter l’évènement douloureux ; se plonger dans une activité ou un travail harassant, en pensant que l’on va oublier le traumatisme. Ce déni peut durer des années et ne nous permettra pas d’aller de l’avant. On peut également vouloir que perdure indéfiniment le rite de deuil ; face à la perte d’un être cher, certaines personnes restent indéfiniment dans un état de tristesse et de dépendance avec la personne disparue. Nous sommes tous différents face à un tel traumatisme et la façon dont nous en sortons est liée à notre personne et à ce qui nous caractérise. La psychiatre Elisabeth Kübler-Ross a décrit dans les années 60, les différentes étapes qui composent le deuil. Les différentes étapes du deuil 1- Le choc Face à la perte d’un proche, par exemple, la douleur peut être immense. Cette phase douloureuse qui peut nous submerger ne dure en général pas longtemps. 2- Le déni C’est le refus de l’évènement. Dans cette étape nous ne sommes pas tous égaux dans la durée. Certaines personnes peuvent se raccrocher à des objets et refuser d’oublier le passé. Le danger est de ne pas en sortir. 3- La colère Lorsque nous acceptons l’évènement, vient alors un sentiment d’injustice vis-à-vis de ce qui nous arrive. Nous éprouvons de la colère envers nous et les autres. Cette colère peut être extérieure, mais aussi intérieure. (Repli sur soi) 4- La négociation Très liée à la colère, cette phase met en scène un marchandage de soi avec l’autre ou avec un être spirituel, afin de pouvoir changer l’évènement douloureux ; le but visé est de vouloir faire machine arrière ; revenir avant l’évènement. 5- La tristesse ​Le chemin de la guérison. Il est normal de ressentir de la tristesse, du regret, de la peur, de l’incertitude. Il faut laisser du temps au temps afin de faire son deuil. Il s’agit d’un attachement émotionnel, mais qui peut aller jusqu’à la dépression. 6- La résignation Nouvelle étape dans la guérison : nous abondons l’idée de pouvoir revenir à une situation antérieure de l’évènement. Cette étape est plus ou moins prononcée, suivant le type de deuil. 7- L’acceptation La perte est acceptée, nous sommes prêts à aller de l’avant ; nous reprenons confiance en nous et en nos capacités ; nous nous recentrons dans la réalité et sortons du processus. 8- La reconstruction L’après deuil : il est temps de nous réorganiser et de reprendre notre vie ne main. Nous utilisons notre énergie ascendante pour reconstruire notre vie, poser les jalons de notre futur. Comment surmonter les étapes du deuil ? Il y a une absolue nécessitée à traverser ces différentes étapes afin de pouvoir continuer son chemin de vie. Le processus du deuil nous demande à chaque étape l’Acceptation ; ce qui ne veut pas dire oublier : accepter la douleur et ses émotions, accepter notre faiblesse et notre vulnérabilité, accepter le processus de changement et ne pas s’y ancrer, accepter les attentions des autres, accepter de ne pas être dans son état normal, enfin accepter l’épreuve qui s’offre à nous et nous permettre de rebondir. Vous avez vécu une période de deuil et souhaitez-vous faire aider pour construire votre nouvelle vie, gagner en confiance. Demandez à vous faire accompagner par un coach professionnel : Prendre rendez-vous -------------------- Ressources : Elisabeth Kübler-Ross est une psychiatre née le 8 juillet 1926, décédée le 24 aout 2004, spécialisée dans les soins palliatifs des personnes en fin de vie https://www.pflutece.com/etapes-du-deuil https://www.ecoute-psy.com/mal-etre/les-etapes-du-processus-de-deuil-et-soutien-psychologique/

  • Comment faire preuve de présence lors de vos entretiens ?

    Vous avez déjà souffert d’un manque de présence et d’écoute lors d’une conversation professionnelle ou avec un proche ; vous souhaitez faire preuve de présence, lors de vos futures entretiens… ​Comment mettre toutes les chances de votre côté lors de cette échéance : faites appel à un coach professionnel, votre premier entretien est offert ! ​ La pleine présence Être en plaine présence avec votre interlocuteur, c’est être dans une position basse d’acceptation de la réalité, exempt de tout contrôle sur votre interlocuteur. Pour ce faire il vous faudra « lâcher prise ». Cette posture propre aux coachs et aux professionnels de l’accompagnement se veut attentive, et bienveillante face à votre interlocuteur et à ses propos. Elle se cultive et s’entretien par la pratique, lors de vos accompagnements, mais aussi peut être renforcée par des pratiques de méditation, relaxation, ... Lâcher prise ! D’abord qu’est-ce que signifie cette expression très utilisée de nos jours ? Le But du « lâcher prise » est d’être exempt de tout contrôle sur les autres. Pour y parvenir vous devez d’abord appliquer à vous-même ce que vous souhaitez appliquer aux autres. C’est-à-dire ne plus tout vouloir contrôler dans votre monde intérieur et ainsi commencer par faire cesser vos agitations internes : cesser de rebondir sur plusieurs pensées et préoccupations du moment, faire le calme et le vide intérieur, afin de vous concentrer sur les besoins de l’autre et non plus sur ce qui vous préoccupe dans l’instant. C’est un exercice très difficile lorsqu’on n’y est pas habitué et qui peut requérir un long apprentissage. Personnellement lors de mes coachings, j’utilise beaucoup les techniques de centrage et de visualisation de mes cours de Taï Chi Chuan, pour faire lâcher prise à des clients en proie à des "singes fous" très agités. Quelques points de vigilance Afin de s’entrainer à ce lâcher prise avant un futur entretien, vous pouvez toujours pratiquer des exercices respiratoires enseignés en méditation et relaxation, puis vous connecter à votre être intérieur et rester vigilant à ce qui se passe en vous : - Êtes-vous tout le temps présent à ce que vous dit votre interlocuteur ? - Pensez-vous une seule chose à la fois ? - Vous ne dites pas tout ce qui se passe dans votre tête ? - Vous n’anticipez pas la prochaine question ? Si vous parvenez à réussir chacun de ses points, alors vous pourrez entrer en résonnance avec ce que vous dit votre interlocuteur, vous serez pleinement présent avec lui. Vous aussi vous souhaitez renforcer l’attention que vous portez à vos clients, rester vous-même lors de vos entretiens, faire parler votre cœur sans intention et avec toute votre disponibilité ? Demandez à vous faire accompagner par un coach professionnel :​ -------------------- Ressources : ICF, référentiel des compétences du coach. (https://coachfederation.org) https://www.coachingways.fr/competence-cle-coaching-pleine-presence/

  • Construire un climat fondé sur la confiance et le respect

    Vous peinez à créer un climat de confiance dans vos relations professionnelles ou personnelles ; vous recherchez à améliorer la créativité et l’implication de vos proches ? Renforcez vos capacités et votre efficacité relationnelles, donnez-vous les clefs du succès, marchez vers un bien-être personnel et professionnel ! Faites appel à un coach professionnel et inscrivez-vous à un premier entretien gratuit : Rendez-vous Instaurer la confiance et le respect Que se soit avec vos clients ou prospects, une relation de confiance et de respect mutuel est la base essentielle de toute communication durable, pour les meilleurs résultats possibles. Sans confiance et respect, point de partage possible, la relation resterait superficielle, reposerait sur des faux semblants, qui ne mènerait à rien de concret. Votre interlocuteur doit pouvoir se sentir en sécurité dans un environnement adapté que vous avez su instaurer, grâce à votre vigilance, votre honnêteté, votre sincérité dans les échanges. Il doit également se sentir soutenu dans ses prises de décisions, parce que vous montrez votre intérêt pour son bien-être et parce que vous respectez son mode de perception et d’apprentissage. Enfin, dans une relation de coaching, vous saurez demander l’autorisation de votre interlocuteur lorsque certains sujets vous apparaitront comme sensibles. Comment créer un tel climat de confiance ? Quelques éléments de vigilance La confiance et le respect s’acquièrent avec le temps ; pas de précipitation ou faute de langage : si vous « manquez le coche », face à une personne prête à vous faire confiance dès le premier abord, il vous faudra du temps pour retrouver sa confiance. 1- Ne cachez rien, ou ne sous-entendez rien : soyez sincère dans votre dialogue et vos échanges. Si votre interlocuteur sent que vous lui cachez quelques-chose, ou que vous l’orientez dans une direction qui ne lui est pas propice, il aura du mal à vous faire confiance. Le meilleur moyen est de partager vos ressenti avec lui. 2- Adopter une posture d’écoute respectueuse et positive face à ce que vous entendez. Il ne s’agit pas de montrer que vous avez raison : soyez humble et sans aprioris sur ce que vous ne connaissez pas ou ne partagez pas. Respectez les idées de vos clients. 3- Proposez plutôt que de critiquer. Vous avez un autre point de vue que celui de votre interlocuteur : montrer en quoi votre proposition est positive et peu apporter un plus. 4- Ne promettez rien que vous ne pourrez tenir ; il n’y a rien de pire pour saper définitivement une relation que de ne pas tenir les promesses sur lesquelles un client comptait. Cela peut générer de très grandes frustrations. 5- Soyez cohérent et régulier. Vous devez être rassurant sur le long terme, car la confiance est une valeur qui s’acquière sur la durée. Pour aller plus loin Vous avez besoin d’un nouveau positionnement dans vos relations professionnelles avec un nouveau poste ou un nouveau projet d’envergure ? Vous avez trop souvent sous-estimé le pouvoir d’une relation de confiance au travail ? Demandez à vous faire accompagner par un coach professionnel : Rendez-vous -------------------- Ressources : ICF, référentiel des compétences du coach. (https://coachfederation.org) https://11competencesicf.wordpress.com/category/b-co-creer-la-relation-avec-le-client/3-construire-un-climat-fonde-sur-la-confiance-et-le-respect/

  • L’anxiété post confinement

    Le dé confinement est maintenant instauré depuis plusieurs semaines, mais vous peinez toujours à reprendre votre vie et vos relations ! Face aux différents troubles post confinement qui génèrent de l’anxiété chez les personnes sensibles, comment faire de cette période une réelle opportunité de changement ? Vous avez besoin d’un accompagnement dans cette période transitoire : faites appel à un coach professionnel, votre premier entretien est offert ! Les différentes phases du dé confinement Cette nouvelle étape que nous vivons depuis plusieurs semaines, se décrit comme les différentes phases d’un deuil ; le deuil de notre confinement et d’une période où nous avions appris à nous sentir en sécurité… L’inquiétude : face à l’inconnu généré par ce nouveau virus, c’est la peur qui a prédominée, renforcée par les nombreux messages alarmistes relayés dans nos médias favoris. Cette peur engendre une opposition forte au changement de situation qu’amène le dé confinement. C’est la phase propice à l’anxiété et à l’agoraphobie du dé confinement. L’acceptation : après la phase d’opposition et après avoir pris le recul nécessaire sur la nouvelle situation nous finissons par l’accepter et pleinement vivre ce qui nous arrive. Nous avons réussi à faire le deuil de notre période de confinement. La découverte : la phase de création propre à la relation de coaching ; nous ouvrons les yeux sur l’avenir, rebondissons sur la situation pour bâtir nos nouveaux projets de vie. L’agoraphobie liée au confinement* L’agoraphobie est une peur développée dans certains lieux d’où il serait difficile ou gênant de s’échapper ou d’être secouru. Les symptômes liés à cette anxiété, sont généralement des montés d’angoisse qui peuvent s’accompagner de maux de ventre, vomissement, malaises. Dans le cadre du confinement, une anxiété même relative qui était latente chez certaines personnes a été exacerbée par l’isolement seul, plusieurs mois durant. La période du dé confinement crée une transition brutale qui fait apparaitre un niveau d’anxiété bien supérieur à ce que la personne connaissait, lorsque celle-ci est confrontée à des lieux publics, des grands espaces de supermarchés, des espaces clos, … De plus, le fait de porter des masques respiratoires dans ces espaces, provoque une sensation d’étouffement qui renforce l’anxiété des personnes sensibles. Le climat d’incertitude qui entoure le traitement des personnes affectées par le virus, la sortie hésitante et controversée d’un prochain vaccin, le climat d’urgence et d’immédiateté que vit le monde entier, contribuent également à cette angoisse. La sortie du dé confinement une force Vous avez traversé cette phase anxiogène du dé confinement et êtes en phase de renouveau. Comment profiter de cette période de « remise à zéro » pour donner libre court à vos envies longtemps refoulées ? Comme faire de cette période une opportunité de changement ? Et si vous vous concentriez sur vos projets que vous pourriez mettre en œuvre maintenant et concrètement. Je vous propose un accompagnement pour construire votre futur avenir personnel et professionnel. Prenez rendez-vous pour votre première séance gratuite : votre séance gratuite ! -------------------- * : l’accompagnement en coaching ne se substitue pas une thérapie ou à une psychothérapie, mais peut vous accompagner dans une phase post-traumatique de reconstruction ou en parallèle d’une thérapie. Ressources : https://www.madmoizelle.com/3-conseils-pour-lutter-contre-lanxiete-536293 https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2631987-effets-psychologiques-deconfinement-post-confinement-impact-bilan-conseils/

  • Et si vous adoptiez l’écoute active ?

    Mare des conversations stériles, de parler en toute indifférence, des joutes verbales interminables au boulot ou en famille ? Et si vous adoptiez l’écoute active ! Concept développé au 20è siècle par Carl ROGERS, l’écoute active ou écoute bienveillante est utilisée dans les situations de face à face, pour l’accompagnement des personnes. L’écoute active c’est quoi ? C’est une méthode de communication, mise au point par Karl ROGERS* pour aider son interlocuteur à trouver des solutions avec bienveillance et respect. Elle permet de rentrer en relation avec son interlocuteur pour qu’il exprime ce qu’il a en lui et ainsi permettre de l’aider. Petite parenthèse sur les niveaux d’écoute… Il existe trois niveaux d’écoute qui vont de plus en plus en profondeur dans l’écoute de la personne : - 1er niveau d’écoute : être attentif à ce que vous dit l’autre. Il s’agit d’être attentif à ce que son interlocuteur met en scène ; le verbal mais aussi le non verbal. - 2ème niveau d’écoute : l’écoute empathique des émotions sous-jacentes de l’autre. Il s’agit ici, de l’écoute active chère à Carl ROGERS. Savoir identifier les émotions qui effleurent, en faisant preuve d’empathie. Lorsqu’une personne vous reproche de ne pas l’écouter, alors que vous portez votre attention sur elle depuis 15mn, c’est qu’elle s’aperçoit que vous n’écoutez pas ce qu’elle ressent, que vous n’êtes pas en empathie avec elle. - 3ème niveau d’écoute : l’écoute systémique du coach. Quelles sont les échos que le discours de l’autre suscite en moi ? quelles sont les émotions que je ressens par l’écoute de l’autre ? En accédant à ce potentiel, le coach met en œuvre toute sa puissance au service du client. De cette compréhension viennent ensuite les questions puissantes qui amènent le client sur des prises de conscience. Pourquoi pratiquer l’écoute active ? « Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, Il y a 9 raisons de ne pas se comprendre. Rien ne serait pire que de ne pas essayer. » (Bernard WERBER*) Améliorer notre communication avec les autres, au cours d’un coaching ou d’un entretien personnel ou professionnel, est la base de nos relations humaines. Et savoir écouter l’autre c’est faire un grand pas en avant. Comment pratiquer l’écoute active ? Pour mettre en œuvre l’écoute active, voici quelques points clefs à pratiquer dans vos communications. Les acquiescements : les hochements de tête, permettent à la personne de se sentir comprise et de continuer son dialogue en ayant le sentiment d’être écouté. Les questions ouvertes : elles permettent d’ouvrir le dialogue sans enfermer la personne dans un « oui/non » qui ne permet pas à la conversation de continuer. Elles commencent généralement par « Comment ? » ou « Qu’est ce qui fait que… ? » Les mots relais et tremplins : ce sont des petits mots qui permettent de rebondir sur ce que dit notre interlocuteur : « C’est-à-dire ? », « Non ? », « Et ? ». Les mots clefs : des mots et phrases fortes que l’interlocuteur énonce comme des vérités immuables : « c’est impossible ! », « je n’y arriverai jamais ! ». Le fait de reprendre ces affirmations en question permet à notre interlocuteur de poursuivre la conversation et de réfléchir pour aller plus loin. Les phrases en suspension : lorsque notre interlocuteur marque un temps d’arrêt, rebondir sur son dernier mot avec une interrogation, permet à notre interlocuteur de poursuivre sa réflexion. Les reformulations partielles : il s’agit de reformuler pour avoir des précisions, pour que l’interlocuteur précise sa pensée et pour l’aider à cheminer dans sa réflexion Le silence actif : laisser des silences permet à l’interlocuteur de continuer sa réflexion. Pendant un silence un client travaille… La reformulation totale : reformuler la totalité de la pensée pour inviter l’interlocuteur à ajouter des précisions et continuer l’explication. Mener une écoute active comporte quelques difficultés sur lesquelles vous devez rester vigilant : Rester à sa juste place, ne pas interférer dans le cheminement de l’autre Ne pas vouloir prendre l’ascendant sur l’autre Ne pas trop s’impliquer pour en faire sa propre histoire L’idéal consiste à ne pas vouloir conseiller, ni montrer comment faire, mais à être là pour écouter. Cela peut sembler inutile au premier abord, mais c’est dans ces moments que l’on est le plus précieux pour notre interlocuteur. Enfin je vous laisse avec la citation de Confucius, qui - il y a 2500 ans - avait déjà tout compris : « L’homme a deux oreilles et une bouche c’est pour écouter deux fois plus qu’il ne parle ! » Vous aussi vous voulez passer à l’écoute active ? Faites-vous accompagner par un coach professionnel --> Rendez-vous ----------------------- * Ressources : Carl ROGERS : né le 8 janvier 1902 à Oak Park (Illinois) et mort le 4 février 1987 à La Jolla (Californie), est un psychologue humaniste américain. Il a principalement œuvré dans les champs de la psychologie clinique, de la psychothérapie, de la relation d'aide (counseling), de la médiation et de l'éducation. Sa méthode met l'accent sur la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient (empathie, congruence et considération positive inconditionnelle) - Source Wikipédia Bernard WERBER : né à Toulouse le 18 septembre 1961, Bernard Werber est un écrivain français, connu notamment pour sa trilogie des "Fourmis" et ses nombreux romans. Très belle vidéo sur l'écoute active : ici

  • Nous avons besoins de résilience !

    La résilience, concept des sciences psychologiques Etudiée au 20ème siècle par de nombreux psychologues et psychanalystes, la résilience est médiatisée en France à la fin des années 90 par Boris Cyrulnik, au point de devenir un terme populaire utilisé dans de nombreux autres domaines. Elle se définit en psychologie par la capacité d’adaptation d’une personne qui a subi un traumatisme. La personne continuant à se développer d’une manière différente qu’elle ne l’aurait fait avant le traumatisme. Face à un traumatisme important (agression mettant en jeux sa vie), nous avons plusieurs façons de réagir : ressasser l’agression vécue seul(e) dans son coin ou y faire face, la partager et réduire son impact. La deuxième action, qui nécessite un effort important lors de la « mise scène », est celle qui nous permettra de reprendre positivement le cours de notre vie. C’est là que l’on parle de résilience : réussir à vivre et à se développer malgré l’adversité. Quels sont nos réactions face à un traumatisme ? Lorsque nous sommes confrontés à un traumatisme important, nous mettons en place des mécanismes de défenses internes comme : Le clivage : partager son moi en une partie secrète et une partie acceptable. La rêverie, l’humour : faire des rêves fous et de l’humour en refus du rôle de victime passive. L’intellectualisation : généraliser la représentation de l’affect pour s’en détacher ou se distancer. L’abstraction : négliger certains aspects ou caractéristiques du traumatisme pour n’en retenir que quelques-uns. Ces différents mécanismes ont pour conséquence l’effacement et l’abstraction de l’acte traumatique ; ils nous permettent de continuer à vivre bon grès mal grès. Ce sont les seules échappatoires que nous avons trouvé face à une sollicitation intense de stress, mais ils ne permettent pas de continuer notre développement personnel de façon positive. Ils risquent de mettre en œuvre des effets dévastateurs dans notre vie de tous les jours, face à de futures sollicitations. Comment être résilient ? La résilience de chacun est déterminée par trois facteurs que sont l’individu, la famille, les liens sociaux. Si nous avons peu d’influence sur les deux premiers facteurs, nous disposons de toute la latitude possible pour abonder dans le troisième : participation à des groupes de paroles, organisation d’une communauté sociale, religieuse, investissement dans le sport, … La résilience passe par l’altérité. Aller vers la résilience c’est choisir de partager l’évènement traumatique, d’en parler ; de façon à rester acteur et diminuer ainsi les effets négatifs. « Le malheur n'est pas une destinée, rien n'est irrémédiablement inscrit, on peut toujours s'en sortir » (B. Cyrulnik) Vous avez vécu un traumatisme et souhaitez aller de l’avant ? Découvrez comment le coaching peut vous aider dans votre phase post-traumatique* --> Rendez-vous -------------------- * : l’accompagnement en coaching ne se substitue pas une thérapie ou à une psychothérapie, mais peu vous accompagner dans une phase post-traumatique de reconstruction ou en parallèle d’une thérapie. Ressources : https://www.infirmiers.com/etudiants-en-ifsi/cours/cours-esi-resilience-nous-tue-pas.html « Plongée dans l'univers de la résilience », Boris Cyrulnik https://www.psychologies.com/Moi/Epreuves/Souffrance/Articles-et-Dossiers/Boris-Cyrulnik-le-penseur-de-la-resilience

  • Êtes-vous assertif ou pas ?

    L’assertivité quèsaco ? L’assertivité est notre capacité à exprimer nos propres sentiments, à affirmer nos droits, tout en respectant les droits et les devoirs des autres. Être assertif c’est exprimer de manière claire et précise ses sentiments aux autres, sans aucune forme de manipulation, frustration intentionnelle. Être assertif ce n’est pas non plus être passif, ni agressif. C’est un sentiment qui est plus ou moins naturel chez les personnes et qui se cultive. Les avantages à être assertif sont multiples : réduction du nombre et de l’intensité des conflits entre personnes, réduction du stress des personnes, … L’assertivité́ est liée au comportement social d’une personne, à sa façon de communiquer, dans sa vie personnelle autant que professionnelle. Manquer d’assertivité résulte dans nos sociétés, d’une inadaptation à la communication, alors que l’assertivité vise plutôt une communication équilibrée. Passif, agressif, manipulateur ? Les comportements en regard de l’assertivité sont l’agressivité, son contraire la passivité, et la manipulation. Avec l’assertivité et ces trois comportements, nous disposons de bons indicateurs sur notre capacité à communiquer et surtout sur notre positionnement dans la vie sociale. Encore faut-il savoir évaluer la part de chacun dans notre personnalité. Savons-nous résister aux sollicitations des autres qui nous en demandent toujours trop ? Basculons-nous trop souvent dans un comportement agressif face à des sollicitations qui nous dérangent ? Avons-nous le sentiment de nous servir trop souvent des compétences des autres pour nos besoins personnels ? Être assertif, c’est justement savoir faire la part des choses entre ces comportements, trouver un équilibre et garder à l’esprit les objectifs que vous désirez le plus dans votre vie : être aligné, centré, bien. Comment la cultiver ? Vous ne changerez pas les autres, mais vous avez l’immense pouvoir de changer vos comportements et dont d’intervenir dans vos relations avec les autres. La voie pour y parvenir ne se fera pas en quelques jours, mais progressivement, à l’aide d’une pratique soutenue. Commencer par sortir de la vision « côté obscur » ou « verre à moitié vide ». Dans votre vie de tous les jours, comme dans votre vie professionnelle, attachez-vous à mettre en avant les côtés positifs des situations que vous vivez. Travaillez votre confiance, afin de croire en vos capacités et vos compétences. Vous ferez plus de la moitié du chemin si vous êtes convaincu d’y arriver avant de commencer à vous impliquer ! Évitez les réactions impulsives et instinctives face à des sollicitations dérangeantes. Certes, on ne peut pas tout contrôler ! Mais il ne s’agit pas tant de contrôle que d’éviter de sur-réagir. Votre comportement vous appartient et vous en assumez les conséquences. … Vous avez besoin d’aide pour y arriver ? Vous voulez décoder votre assertivité ? Arrêter de dire toujours oui aux autres ; gérer votre agressivité ; sortir de la manipulation ? Inscrivez-vous à votre première séance de coaching Gratuite : Rendez-vous ​-------------------- Ressources : https://www.assertivite.net/

  • Activez votre intelligence émotionnelle !

    ​L’intelligence émotionnelle c’est quoi ? L’intelligence émotionnelle se distingue du QI ou Quotient Intellectuel, par notre capacité à reconnaitre nos propres sentiments et ceux des autres dans nos relations. Cela entraine une capacité accrue à nous motiver et à contrôler nos émotions dans notre vie de tous les jours. Cette intelligence est donc très différente du QI qui ne mesure que nos capacités cognitives, comme par exemple lors de nos apprentissages scolaires. L’intelligence émotionnelle est donc basée sur le comportement de chacun en société, et fait appel entre autres à : la conscience de soi : être capable d’évaluer ses sentiments et émotions avec discernement ; la maitrise de soi : savoir gérer ses émotions pour ne pas se laisser emporter par elles ; la motivation : utiliser nos envies comme guide et moyens d’atteindre nos objectifs ; l’empathie : savoir se connecter avec les sentiments des autres ; ainsi que de nombreuses autres aptitudes humaines : négociation, animation d‘équipes, coopération, … L’avantage de l’intelligence émotionnelle ? Imaginez tous les avantages que peut tirer une personne qui maitrise chacun des comportements cités ci-dessus, par rapport à une autre qui en serais dépourvue. Une personne comme celle-là resterait calme et imperturbable dans des moments éprouvants de forts stress, construirait des relations de confiance grâce à sa fiabilité et son authenticité, saurait reconnaitre ses erreurs et tenir ses promesses, adapterai ses réactions en fonction de l’évolution des circonstances, saurait apprendre de ses échecs et atteindre ses objectifs avec ténacité, … Bien sûr tout le monde ne maitrise pas ces comportements à la perfection. Mais on peut imaginer que quelqu’un qui en maitriserai que 30% serai déjà fort avantagé dans sa vie Personnelle et professionnelle. Quant à celle qui en maitriserai près de 60%, elle serait assurée de naviguer avec aisance dans sa vie quotidienne… Comment l’activer ? Le travail d’un coach avec son client vise entre autres à faciliter l’émergence de l’intelligence émotionnelle de ce dernier. Le processus de coaching, par l’ensemble des compétences qu’il met en œuvre, permet au client de définir clairement des objectifs accessibles, d’encourager ses efforts, de motiver sa réussite, de renforcer sa confiance en ses capacités propres, de trouver les ressources nécessaires, … ; et ainsi de contribuer à son développement et son épanouissement. Vous aussi vous voulez travailler votre intelligence émotionnelle ? Inscrivez-vous à votre première séance de coaching gratuite : Rendez-vous ------------------------------ Ressources : « L’Intelligence émotionnelle » de Daniel Coleman

  • L'Art de poser les bonnes questions

    (En coaching ou lors d’un échange comportant des enjeux) Poser de bonnes questions, lors d’un coaching ou d’une discussion avec un client, est une compétence qui se cultive et s’entretien. Quels ont les avantages à poser de bonnes questions, à quels moments pouvons-nous en avoir besoin, comment reconnaitre une bonne question et surtout comment procéder pour y parvenir… Qu’est- ce qu’une bonne question ? On ne parlera pas dans cet article des questions purement rhétoriques qui consistent à clarifier, informer ou valider une information par oui ou non. Une bonne question est une question qui ouvre sur une possibilité qui oriente notre interlocuteur vers le futur, vers le champ des possibles, sans le restreindre. C‘est aussi une question directe, simple, facilement compréhensible et qui bien souvent est reconnue comme telle : « ha ! voilà une bonne question ! » A quoi peut-on reconnaitre de telles questions ? Elles déclenchent souvent une réflexion chez notre interlocuteur un changement de cap. Et il peut s’en suivre une période de silence, qu’il faudra veiller à ne pas perturber pour laisser travailler notre interlocuteur. A l’inverse, une question peu productive sera une question qui recherche la justification, la causalité, la compréhension dans le passé, ou qui restreint le cadre et se perd dans les détails, ce qui n’est pas notre objectif et qui incite peu à un dialogue créatif. Pour quelle finalité ? L’objectif visé par de telles questions est multiple : travailler des enjeux, provoquer une réaction, faire naitre une prise de conscience, explorer de nouvelles possibilités, mettre en mouvement, orienter son interlocuteur vers le futur, ouvrir une discussion, montrer que tout peut être possible, permettre à la créativité de s’exprimer, faire avancer vers un objectif, …etc. Cette compétence est utilisée en coaching et peut s’avérer fort utile pour faire travailler à son client ses objectifs. Elle peut être également utilisée dans certaines phases de l’accompagnement d’un client, en conseil, audit, prospection, … etc. Comment poser des bonnes questions ? La première des choses pour poser de telles questions est d’adopter une posture adéquat : être centré sur son interlocuteur et non sur soi. Une position basse de découverte, d’accueil, d’éveil, d’ouverture à la surprise et à l’inconnu sont les conditions requises pour faire naitre la confiance. Il faut également savoir renoncer à tout contrôle et orientation sur les idées du client. Pour cela, l’absence de préjugées et de suppositions à l’égard de son interlocuteur est un impératif. Il faut accepter de ne pas savoir, savoir se mettre en apesanteur, accepter d’être déstabilisé, savoir faire preuve de naïveté. Lorsque des surprises surviennent alors, il faudra les partager pour faire naitre et perdurer la confiance de son interlocuteur, ainsi que la dynamique initiée. Exemples de questions Quelques exemples de question dites « puissantes », qui lorsqu’elles sont posées au bon moment et dans le bon contexte, peuvent amener à une réelle prise de conscience du client. A quoi pensez-vous quand vous dites cela ? Que voulez-vous dire par « je suis toujours … » ? Et quoi d’autre ? Et si vous saviez, qu’est-ce que vous pourriez faire ? Que ressentez-vous à ce moment-là ? En quoi est-ce incompatible avec cela ? Qu’est-ce que cela touche en vous ? Si la situation était parfaite, elle serait comment ? Comment vous vous débrouillez pour échouer ? Que vous manque-t-il pour y arriver ? Comment pourriez-vous rater votre présentation ? En quoi c’est un enjeu pour vous ? Pour qui est-ce un problème ? Qu’est-ce que vous y gagnerez / perdrez ? Si vous aviez une baguette magique, que feriez-vous ? Quelle pourrait être votre lecture de la situation ? A quoi ressemble le problème du point de vue de … ? Quels sont les inconvénients à réussir une telle chose ? Quels sont les avantages à ne pas réussir ? Qu’est-ce que vous pourriez faire de différent la prochaine fois ? Si votre problème était un objet, une plante, un arbre, animal, une couleur, … se serait quoi ? puis Comment le décririez-vous ? Quelles sont vos options ? Quel est le premier pas ? Quelles ressources vous souhaitez activer ? Qu’en pensez-vous le faire ? Si vous atteignez vos objectifs quels seraient les effets positifs pour vous et votre entourage ? Que se passera-t-il, si vous ne faites rien ? Imaginez que vous êtes là ou vous vouliez être, que se passera-t-il ? Enfin je vous laisse avec une belle citation très représentative du questionnement en coaching. « Les gens qu’on interroge, pourvu qu’on les interroge bien, trouve en eux-mêmes leur réponse. » (Socrate) Vous aussi vous voulez poser de bonnes questions ? Faites vous accompagner et améliorer votre impact lors de vos entretiens : Rendez-vous

  • 7 étapes clefs pour choisir des objectifs performants

    Que ce soit à titre personnel ou sur un projet professionnel, il est important de savoir fixer de bons objectifs afin de mettre toutes les chances de son côté pour réussir. Il en va de même lors d’une relation de coaching, où il est de la responsabilité du coach d’aider son client à choisir de bons objectifs. Qu’est-ce qu’un bon objectif ? Un bon objectif est une étape qui permet d’accompagner le client vers son rêve, sa vision à long terme. Pour y parvenir, il est de la responsabilité du coach de faire comprendre à son client que ce n’est pas seulement le but ultime qui compte, mais chaque étape pour l’atteindre ! Un bon objectif doit être choisi en accord avec l’intention profonde de le réaliser. Attention aux objectifs prescrit, qui ne sont pas portés et donc, qui ont peu de chance d’être réalisés. Une méthode intéressante pour nous aider à choisir de bons objectifs : la méthode S.M.A.R.T. pour des objectifs Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalisables et Temporalisés. Sans ces 5 propriétés, nos objectifs risquent de rester de belles utopies… La méthode S.M.A.R.T. 1- Choisir des objectifs Spécifiques Des objectifs généraux, vagues et peu précis n’engagent pas ou peu. Pour réussir des objectifs des actions sont nécessaires. Comment fixer des actions allant directement vers la réalisation d’objectifs si ceux-ci ne sont pas clairs et peu précis ? Il n’est pas nécessaire de savoir le « Comment », mais il est impératif de cerner avec précision ce que l’on veut atteindre. 2- L’importance de la Mesure La mesure est ce qui permet aux actions d’aller dans le bon sens et donc de se diriger vers la réalisation de nos objectifs. Pour le savoir, il convient d’estimer à chaque étape ou action la valeur atteinte. Avec cette évaluation nous seront capables de connaitre l’atteinte de nos objectifs. 3- L’Accessibilité dans l’environnement du client Est-ce que les objectifs du client sont entièrement dans son périmètre, son environnement ? Dépendent-ils de tiers sur lesquels le client n’a pas de prise ? Pour être accessibles les objectifs du client doivent être dans un environnement qui dépend de lui, sous son contrôle et qui tient compte de ses contraintes de tous les jours. 4- Savoir être Réaliste Les objectifs doivent être fixés en toute lucidité et avec beaucoup de pragmatisme. S’il y a une prise de risque celle-ci doit être évaluée. Quels sont les enjeux du client, par rapport à sa vie de famille ? Les effets négatifs que peuvent induirent les objectifs sont-ils pris en compte ? L’intérêt des différentes personnes impliquées est-il pris en compte ? Autant de questions à se poser pour choisir des objectifs réalistes. 5- Se projeter dans le Temps Je choisi d’atteindre mon objectif dans un temps déterminé. Et je recadre ma temporalité si je pense la dépasser. Est-ce que tous les paramètres dépendent de moi, est-ce que je maitrise la date et tous ses aspects ? Il convient de prendre du recul sur la date fixée. Car une temporalité non vérifiée fera à coup sûr des objectifs qui ne seront jamais atteignable ! 6- Les actions et les ressources Les objectifs ne sont que de belles idées tant qu’ils n’ont pas été mis en actions ! Un fois les objectifs déterminés, quelles sont les actions à mettre en œuvre pour les atteindre ? Et surtout de quelles ressources le client a besoin ? Par ressources on entend aussi bien les apprentissages que les moyens matériels. Une méthode simple pour ne rien oublier dans l’identification des ressources est la méthode des 4 S : Savoir, Savoir-être, Savoir-faire, Savoir se réaliser. 7- Enfin, féliciter les avancées Donner la bonne énergie dans l’atteinte de ses objectifs, et savoir se féliciter d’avoir avancé est primordial ! Vous avez envie d'objectifs performants ? Inscrivez-vous à votre première séance de coaching gratuite : Rendez-vous

  • Les 7 caractéristiques des personnes qui réussissent

    Synthèse en français réalisée d'après l'article de Paloma Cantero-Gomez, pour le magasine Forbes. L'article complet à l'adresse suivante : Forbes.com 1- Avoir une approche proactive de la vie ; un but chaque jour « Surveille tes pensées car elles deviendront des mots. Surveille tes mots car ils deviendront des actes. Surveille tes actes car ils deviendront des habitudes. Surveille tes habitudes car elles deviendront ton caractère. Surveille ton caractère, car c’est ton destin » Lao Tseu 2- Ne pas rester sur les choses que nous ne contrôlons pas ; connaitre ses limites "Un changement incroyable se produit dans votre vie, lorsque vous décidez de prendre le contrôle de ce que vous avez, au lieu de vouloir contrôler ce que vous n'avez pas." (Steve Maraboli). 3- Embrasser l'inconnu et en tirer le meilleur parti ; grandir avec l'adversité, relever les défis Voir le verre à moitié plein... 4- Regarder le passé, vivre dans le présent, planifier l'avenir ; Ne pas rester coîncé dans le passé... 5- Evaluer les risques ; Savoir prendre des risques sans être téméraire... 6- Ne pas se perdre dans des choses insignifiantes ; penser et voir grand "Les grands esprits discutent des idées; les esprits moyens discutent des événements; les esprits petits discutent des gens" (Eleanor Roosevelt) 7- Etre bienveillant Se soucier des autres ; construire des relations saines, basées sur la bienveillance et la confiance... La réussite n'appartient pas qu'aux autres ! Inscrivez-vous à votre première séance de coaching gratuite : Rendez-vous

  • La causerie MASE

    Le référentiel MASE en pratique Voilà une pratique apportée par le référentiel MASE (Le Manuel d’Amélioration Sécurité́ des Entreprises) qui n’est pas des plus aisée à réaliser sur le terrain, lorsqu’on la fait pour la première fois. Je vous donne quelques recommandations issues de mon expérience et qu’il peut être intéressant de suivre si l’on veut gagner en efficacité rapidement… Tout d’abord, expliquons la différence entre une information et une causerie, car beaucoup de praticiens confondent ou mêlent les deux. Une information peut consister en l'explication d'une procédure, d'un mode opératoire, d'un Plan de Prévention des risques, … Les échanges avec l'auditoire sont limités, il s'agit avant tout d'informer le personnel qui est à l'écoute de l'animation. Une information peut être faite avec un grand nombre de personnes 30, 50, … voir plus et sur plusieurs sujets variés. La durée est fonction de la complexité et de la multitude des sujets. Il est conseillé de faire des pauses régulières lors d'informations longues (plus d'une heure). Une information se fait dans le sens descendant ; de l’animateur vers l’auditoire, même si ce dernier peut participer en demandant des explications ou éclaircissements. Pour ce qui est de la causerie, la définition du Référentiel MASE est assez simple : « une causerie est une réunion planifiée et organisée régulièrement abordant des thématiques spécifiques. » Si l’on veut ajouter quelques compléments, on peut dire qu’une causerie est un échange oral avec le personnel au cours duquel l'animateur recherche la participation et l’échange. (il faut « causer ») Le but peut être de mobiliser sur une pratique (port des EPI, consigne de sécurité, ...), de faire émerger des solutions, ... etc. La causerie se fait par petits groupes afin de faciliter l'échange et permettre aux participants de s’exprimer à tour de rôle. Une moyenne de 5 est confortable avec un maximum de 10-12 personnes ; ce qui me semble la limite à ne pas dépasser. Au-delà, il devient impossible d'organiser un échange constructif. La causerie doit durer le temps nécessaire afin de pouvoir traiter d'un sujet : écouter les propositions et points de vue, noter les idées, mobiliser le personnel, … Je conseille de ne pas excéder 30 minutes. Au-delà, l'auditoire risque d’être difficilement concentré et participatif, surtout sur un chantier. Le cadre de la causerie est important. L’idéal est de trouver un endroit calme propice au dialogue, en retrait de toute activité ou passage pour ne pas être dérangé et ne pas induire de risques sécurité. (un comble !) Le moment de la causerie est à choisir ; de préférence le matin lorsque le personnel est attentif. Il faut éviter si l’on peut, les périodes avant les repas ou avant la fin de journée de travail, quand le personnel est pressé de terminer et déjà en train de réfléchir sur l’après. Un seul sujet est recommandé. Il est difficile lors d'une causerie de traiter plusieurs sujets et pour chacun des sujets d’avoir la participation des tous. Celui-ci doit être suffisamment préparé par l’animateur qui se fera aider par un ou plusieurs supports visuels comme des photos agrandies, des affiches, … etc. Il faut éviter les supports surchargés de texte qui capterons trop l’attention de l’auditoire et qui seront difficile à lire. L’animateur doit lancer les échanges, faciliter ceux-ci et veiller à ce qu’ils ne débordent pas du cadre de la causerie. Si c’est le cas et que les sujets soulevés méritent d’être traités, ils pourront l’être dans une prochaine animation. Enfin, savez-vous combien de temps votre personnel gardera à l’esprit votre causerie ? En moyenne guère plus de quelques jours et dans la majeure partie des cas, un à deux jours maximums. Pour les formations, guère plus d’une semaine. Alors ne vous formalisez pas : faite régulièrement des causeries à votre personnel afin de leur rappeler les règles de sécurité ; il vaut mieux avancer par petites touches successives que de se perdre dans un exercice trop fastidieux. Vous avez besoin de former vos animateurs à la pratique de la causerie de chantier ? Contactez-moi : Rendez-vous

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